vendredi 25 janvier 2013

Au nom de Durin.


Aujourd’hui, je suis perdue. Mon corps repose au milieu de milliers de cadavres. Bien que je croyais être immortelle, il n’en était rien.
Je fermais lentement les yeux, sous le regard paniqué et triste du Hobbit Bilbon Saquet. Oh, lui et moi avions construit une amitié des plus solides, et ce, grâce au fort tempérament du Roi Nain, Thorin II, dit Thorin Écu-de-chêne.
Oh Thorin… Mes dernières pensées vinrent vers cet homme, qui avait changé tout autant qu’il ne m’avait changée. Je priais maintenant pour Bilbon, et laissais de nouveau mes souvenirs m’accompagner au cours de mon dernier voyage…

Tout d’abord, je repensais à mon arrivée sur la Terre du Milieu. Quelle fut ma réaction lorsque, en me réveillant, mes yeux se plongèrent dans ceux, profonds, du Seigneur Elrond. Tout d’abord, je crus à un rêve, et me pinçais violemment le bras. L’Elfe, lui, haussa un sourcil, évidemment inquiet pour ma santé mentale. Oh, il me fallut bien du temps avant de réaliser ce qui venait de se passer. Ce n’était que lorsque la voix reposante de la Dame Galadriel me réconforta et me fit paniquer dans la foulée.
D’après elle, j’étais  « envoyée » avait-elle dit, sur la Terre du Milieu, pour des raisons tout à fait rocambolesques. Je devais avoir une tâche à accomplir. Je devais apporter mon aide à une troupe de Nains qui s’étaient lancés dans une mission suicide.


« Notre quête n’est pas adéquate pour une femme ! Nous courrons déjà bien trop de risque à assurer notre propre survie, nous n’avons en rien besoin d’un fardeau supplémentaire ! »

Ce furent les premiers mots que Thorin avait lancé à mon égard. Non, il ne me les avait pas dits directement au visage, mais ces phrases venimeuses m’avaient affectées, et brisées mon égo. Je ne pouvais en aucun cas me laisser rabaisser de la sorte.
La colère fonçait mes iris, et je me rapprochais dangereusement du Roi Nain. Quelle fut ma surprise lorsque je m’aperçus qu’il n’était guère plus petit que moi ! Moi qui comptais le regarder de haut…

« Vous pensez peut-être que l’apport de mon aide a été volontaire ? Vous pensez aussi que je ne suis pas capable de me défendre par mes propres moyens pour la simple raison que je suis une femme !? Gardez vos aprioris préhistoriques pour vous, et pensez à vous acheter un peu de savoir-vivre et de galanterie qui scierait nettement mieux à un présumé Roi ! »

Mauvaise idée. Je pensais avoir calmé sa langue de serpent, mais il n’en fut rien.
Ce fut après avoir entendu quelques soupirs d’étonnement, et Balin qui essayait misérablement de détendre l’atmosphère, ou au moins d’empêcher Thorin de rétorquer, que ce dernier se saisit violemment de mon poignet, et je regrettai alors amèrement de porter ces maudits bracelets qui fendirent ma peau.
Mon dos heurta un mur, et ma tête fut bientôt entre les mains de Thorin. Je vis dans ces yeux bien des choses, peu rassurantes d’ailleurs. S’il avait pu me frapper, il l’aurait fait, mais au lieu de ça, il se contenta de me souffler au visage ces quelques mots, ne manquant pas au passage de m’envoyer quelques postillons de rage.

« Si vous croyez m’intimider avec vos remarques immatures, sachez bien que votre attention empoisonnée ne m’atteint pas. J’ai vécu pire, et je ne me laisserai pas insulter par –

-Pardonnez mon intrusion, Thorin Ecu-de-Chêne, mais le Seigneur Elrond requiert notre présence. » La voix de Gandalf le Gris venait de couper court aux paroles malheureuses de Thorin.

Sans même un dernier regard vers moi, le Nain se recula, et suivit le Magicien.

Ce fut-là, la première entrevue entre Thorin et moi.

Quelques jours plus tard, alors que mes souliers en cuir rongeaient la plante de mes pieds, nous nous retrouvâmes sur le flanc d’une montagne. L’Orage grondait, et la pluie alourdissait nos vêtements. Inondée de peur, je me raccrochais à la seule chose à ma portée : le carquois de Kili. D’abord, il avait eu un fort mouvement de recul, et je jurai intérieurement, pensant que toute la lignée de Durin était aussi méprisable que Thorin. Mais lorsqu’un sourire rassurant fendit son visage, je fus immédiatement soulagée. Il me laissa donc saisir son carquois, ou occasionnellement la manche de son manteau, afin de me guider vers la grotte la plus proche.
Je préférerais vous épargner l’épisode du combat de Géants de Pierres, ou encore du kidnapping des Gobelins – créatures les plus immondes jamais croisées – et, enfin, le duel entre Thorin et son vieil ennemi, Azog le Profanateur.
Je me souvins du courage sans faille du Hobbit autrefois insulté tout comme moi. Ce Semi-Homme qui avait sauvé la tête du Roi Nain.
Ce jour-là, une terrible dispute avait éclaté entre Thorin et moi. Il n’avait pas apprécié mon manque de tact lorsque je lui avais renvoyé au visage toutes les insultes que j’avais en réserve pour lui.
Il avait encore manqué de respect envers Bilbon, qui pourtant, lui vouait toute sa fidélité. Il avait pris la décision de quitter son trou confortable, pour sauver des parfaits inconnus. J’aurai donc voulu un peu plus de gratitude de la part de Thorin. Eh bien, celui-ci ne l’entendait pas de cette oreille, et lorsque, dans les bois, Bilbon avait disparu du sein de notre « joyeuse » troupe, et que Thorin ne manquait pas l’occasion de le rabaisser une fois de plus, je perdis toute patience.

« Comment osez-vous lui manquer de respect de la sorte ! Comment pouvez-vous croire que vos problèmes l’obligent à venir à votre secours, alors que tout allait bien dans sa vie ! Il aurait très bien pu vous ignorer, vous demander de bien lui foutre la paix. Mais non, il a décidé de vous suivre dans cette aventure, de risquer sa vie pour vous Thorin, fils de Thrain, qui le sous-évaluez d’une manière des plus arrogantes ! »

Son visage fut si près du mien,  que je sentais son souffle brulant sur mon menton.

« Je suis las de vos répliques inappropriées ! Je vous laisserais volontiers ici, au milieu de nulle-part. Mais je plaindrais les pauvres bêtes qui auraient à se nourrir de votre chair putride. » Me répondit-il.

Il n’eut pas le temps de voir la larme qui venait de quitter mon œil droit, que la faible voix de Bilbon se fit entendre.

« Je suis là… »

La suite, vous la connaissez donc. Azog, Aigles, etc…

Malgré cette haine qui grandissait en moi, je ne pus m’empêcher d’éprouver un fort sentiment de peur et de tristesse, lorsque ce Warg blanc avait saisi le Roi Nain dans sa gueule. J’avais essayé, pourtant, de me sortir de cet arbre, afin de venir à son secours, mais je ne pouvais me sortir du vide. Fort heureusement, Bilbon trouva ce courage et cette force pour lui sauver la vie. Et je lui fus éternellement reconnaissante.

Encore quelques jours de marche, mes talons qui s’endurcissant, et nous arrivâmes, non sans mal, dans une cabane.
Après avoir été présentés, et d’une manière tout à fait stratégique, à Beorn, un être bien mystérieux et fascinant, nous dînâmes dans une ambiance chaleureuse. Tiens, ce fut ce même soir, que la relation entre Thorin et moi prit une tournure des plus inattendues.
Alors que le gentil bien qu’animal Beorn avait préparé de quoi se satisfaire d’un bain (uniquement pour la Gente Dame avait-il dit), je laissais l’eau bouillante réchauffer ma peau et mon cœur.
Ces derniers jours furent éprouvants autant physiquement qu’émotionnellement. Nous avions manqué de mourir à plusieurs reprises, et jamais je n’avais eu aussi peur pour ma vie et celles de mes compagnons.
Mon calme fut troublé lorsque j’entendis des voix derrière le rideau. Je pus reconnaitre celle de Balin, ainsi que celle de Thorin.

« Tu n’as aucunement besoin de te montrer aussi hostile avec elle, mon ami. Après tout, elle fait partie de la compagnie, et s’est montrée utile par bien des manières. »

Je ne pus m’empêcher de sourire à la suite des paroles de Balin. Ainsi donc, j’étais au moins apprécié de lui… Malheureusement, je n’entendis pas ce qu’avait répondu Thorin, mais j’eus un haut-le cœur lorsque le Nain à la barbe blanche s’exprima de nouveau.

« Eh bien, pardonnes mon impudence, mais tu as une bien étrange manière d’exprimer ta gratitude et ton admiration Thorin. 
-Oh il l’admire tellement qu’il voulait donner son corps en pâture aux Wargs qui nous ont attaqués. » Je reconnus la voix adolescente de Kili.
-Au nom de Durin, ce ne sont pas tes affaires ce que je fais de ma vie sentimentale Kili ! Vas donc te reposer, demain nous partons à l’aube. »

Plusieurs minutes s’écoulèrent dans le silence le plus total, et je me décidai enfin à sortir de ma baignoire improvisée. Un linge propre étroitement enroulé autour de mon corps, et je me risquai à pousser le rideau. Il faisait sombre, de toute évidence, tout le beau petit monde avait quitté les lieux pour aller dormir. A tâtons, je frôlai les murs pour retrouver la chambre dans lequel Beorn avait posé mes affaires. Soudain, un choc, et je me retrouvai sur les fesses. Dans la pénombre, je pus reconnaitre la crinière dorée de Fili, qui se fondait en excuses. Puis, il s’arrêta et me fixa, bouche-bée. Trop lentement, je baissai les yeux, et je sentis alors mes joues bruler sous la honte. Je remontai brutalement le linge sur ma poitrine qui avait été dénudée aux yeux du Nain qui arborait un sourire narquois.

« Ah te voilà mon frère !!! – THORIN !! Par ici !! – Nous te cherchions part-….tout… »

Me voilà maintenant sous le regard pesant de Kili, et je ne perdis cette fois, pas de temps pour me relever, et les contourner. Ce fut sans compter sur ma malchance, lorsque je butais contre une autre personne. Je n’eus même pas à deviner de qui il s’agissait. Je reconnu instantanément l’odeur singulière de Thorin. Et sa voix, qui, une fois de plus, déversait son poison sur moi.

« Mais tu ne peux pas regarder où tu vas !? »
Ah. Le vouvoiement n’était donc plus de rigueur cette fois ? J’entendis derrière moi les frères détaler comme des lapins derrière une horde de chiens, et je ne pus réprimer le soupir agacé qui s’échappait de ma bouche.
Je ne m’excusai cependant pas auprès de Thorin qui s’impatienta. Mais lorsque sans un mot, je voulus pousser la porte de ma chambre qui était désormais à ma portée, il m’en empêcha.
Sa main sur mon poignet vint faire apparaitre des frissons sur ma peau, et le regard dont il me gratifia me marqua à jamais.

« Je suis désolé… Commença-t-il. Mais je n’en pouvais plus.
-Désolé de quoi ? Désolé de m’avoir traité comme un vulgaire Orc, ou Elfe, comme vous le voulez. J’en ai plus qu’assez de votre comportement lunatique, Thorin Ecu-de-Chêne, et j’apprécierai avoir un minimum de respect à mon égard. Pourquoi ne voulez-vous pas m’accepter !? »
A ce moment-là, ma voix trahissait ma nervosité et mon envie de craquer.
« Je ne pense pas avoir été en faute un seul moment. Je ne pense pas vous avoir donné une raison de me détester, Thorin, alors que je fais tout pour vous satisfaire et vous apporter le maximum de sou- »

Je ne pus plus m’exprimer, car mes lèvres furent prises d’assaut pas celles, brûlantes, du Roi Nain.
Sans même m’en apercevoir, il passa une main derrière mon dos, et ouvrit la porte de la chambre pour nous pousser à l’intérieur. Il ne me laissa pas le temps de réagir qu’une fois la porte claquée, il me bloqua contre le mur, ses mains voyageant sur ma peau. Ma serviette tomba sans ma permission, et je me retrouvai nue devant lui. Il ne prit cependant pas le temps de m’observer, car sa bouche se fondit dans mon cou, traçant un chemin humide vers mon décolleté.
Je ne saurais dire quelles furent exactement mes pensées en cet instant, car ma conscience et mon cerveau furent mis hors service. Mes mains vinrent alors trouver refuge dans la chevelure épaisse de Thorin, pendant que les siennes s’occupaient urgemment de le dénuder.
Bientôt, le mur derrière mon dos semblait avoir perdu toute sa froideur, à l’image de l’homme qui me dévorait des yeux.
Il était magnifique dans son plus simple appareil, et je perdis tout contrôle lorsque dans un soupir, il souleva une de mes jambes pour l’enrouler autour de sa taille, et je sentis son excitation titiller la mienne.

« Offrez-vous à moi Elenor… »

Juste un hochement de tête de ma part, et je le sentis entrer en moi. Nous ne fîmes pas l’amour tendrement cette nuit-là. Il s’agissait bien d’une envie dévorante d’unir nos corps dans une passion non cachée.
Mon dos frappait continuellement le mur à chaque coup de ses reins, et je compris alors que Thorin ne comptait pas rester dans la discrétion. Sa bouche à côté de mon oreille me murmurait des paroles insensées, et, très bientôt, nous glissâmes pour nous retrouver sur le sol boisé et froid. Ses vas-et-viens s’intensifièrent, et je sus qu’il allait bientôt atteindre son but.

Nous dormîmes ensembles cette nuit-là, et nous refîmes l’amour à chaque occasion disponible, bien que rares.
Pendant quelque temps, je crus notre "petit jeu" sans signification et sans conséquence.

Ce ne fut que lorsque nous réussîmes à quitter la Forêt Noire, que je compris l’importance de nos actes charnels.

Alors que Bofur était de garde pendant une nuit, il me conta une histoire. Il m’expliqua le rôle que jouaient les tresses et les ornements dans les cheveux ou les barbes des nains…
Bien-sûr, je n’en avais pas sur moi. Mes cheveux étaient lisse, bien qu’emmêlés par les nombreuses aventures. Mais un soir, alors que Thorin avait réclamé ma présence avec lui, isolés du reste du groupe, il me demanda, l’air de rien, s’il pouvait tresser une mèche de mes cheveux.
Il devait sûrement penser que la signification de ce geste m’était complètement inconnue, mais lorsque le langage de mon corps parlait à ma place, il baissa les yeux, murmurant un « Ah, je suppose que tu sais ce que cela signifie… ». Le choix tu tutoiement n’était pas anodin. Il signifiait la chute de notre dernière barrière. Avant cela, je me devais de le vouvoyer pour conserver cette distance entre un Roi et son sujet, hors, Thorin ne voulait pas cela, il voulait bien plus.
Visiblement déçu, il soupira discrètement, et s’apprêta à se lever. Je le retins et plongea mes yeux dans les siens. Puis, un sourire illumina son visage lorsque je guidai ses doigts dans mes cheveux.

Il observa son oeuvre, puis, après avoir scellé ma première tresse avec un de ses crochets personnels, il murmura au creux de mon oreille : «Tu es mienne dorénavant.»


Aujourd’hui, je suis attristée car j’ai failli à mon rôle. Je n’ai pas pu accomplir ce pour quoi j’avais été envoyée sur cette Terre du Milieu. Je n’ai plus la force de rouvrir les yeux lorsque j’entends la voix d’un Magicien murmurer des paroles incompréhensibles. Je sens mon corps se vider lentement de mon sang et de mes larmes. Je n’ai pas su protéger la Lignée de Durin. Je n’ai pas su empêcher l’inévitable. Le dernier de la lignée s’était éteint, et je ne pourrais plus assurer la descendance de mon défunt amant/amour.

« Réveillez-vous Dame Elenor. Ouvrez les yeux. »

Cette voix, je la connais. Bien que lointaine, elle a hanté mes souvenirs. Avec tous les efforts du monde, mes paupières s’ouvrent pour m’offrir une scène de Déjà-Vu.
Au-dessus de moi, se tient le Seigneur Elrond qui me sourit chaudement.
M’étais-je envolée pour les Havres Gris pendant mon sommeil ? Ou étais-je encore en vie ? Toutes ces questions me trottent dans la tête, hors, elles furent vite coupées par leurs propres réponses.

« Vous voilà de nouveau à Fondcombe, Dame Elenor. Gandalf vous a amené à temps. Vivez à présent, vous avez réussi… »

J’ouvre une première fois la bouche, mais aucun son ne sort. Hors, et ceci est un fait assez frustrant en fait, Elrond comprends sans même l’avoir entendue, ma sourde requête.

« Vous avez réussi. Vous avez assuré la pérennité de la Lignée de Durin. » Dit-il en baissant les yeux sur mon bas-ventre.

Je lance un regard apeuré à Gandalf, et celui-ci se contente alors de sourire. Un sourire énigmatique, avant de répondre :

« Qui donc aurait cru, que ce loup solitaire, Thorin, fils de Thrain, allait sacrifier sa fierté pour offrir le plus beau présent qu’un Roi Nain ait à donner à son élue. »

C’est à ce moment-là que je le sens pour la première fois. Cette petite chose qui a pris place dans mon corps. Assurer la pérennité de la Lignée de Durin ? Oui. Mais lui offrir la vie qu’aurait aimé lui offrir son noble père, le plus dur restait à faire…

3 commentaires:

  1. J'adore!!!!
    C'est tellement bonnnnnnnn <3
    J'ai vraiment aimé la description du uh uh ^^ :p

    RépondreSupprimer
  2. Comme promis voici un commentaire un peu plus long sur ce que j'ai pensé de cette nouvelle!

    Alors alors!!! Déjà je ne m'attendais pas à ce contexte, même si au fond il était évident XD

    J'aime beaucoup le fait que tu ai gardé la psychologie de Thorin, et j'adore la manière donc tu as emmené "l'action" si tu vois ce que je veux dire XD Il n'y aurait pas pu en avoir de meilleure! J'avais peur d'un truc genre gnangnan mais j'avais dû oublié que c'était toi qui écrivais!!

    Pour ce qui est des spoils vu que j'ai lu le bouquin ça ne me dérange absolument pas bien au contraire!! On commence au début de l'aventure et on termine à la fin, c'est très bien mené.

    Par contre, ôte moi d'un doute: l'orque blanc n'existe pas dans le bouquin?!

    Voilà sinon bon je t'avoue que j'ai lu cette nouvelle au boulot ce matin donc je n'étais pas vraiment en conditions pour être émoustillée XD Mais il y a du potentiel, je la relirais un jour ou...
    hum hum.

    Voilà voilààààà XD


    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merciiii !

      Hihi, vi les trucs gnagnan normalement c'est pas trop mon trip xD Et puis il ne faut pas oublier que ce passage là est tiré directement de mon rêve, il était hors de question que je l'acidule pour le rendre gnangnan xD Quitte à être perverse, autant l'assumer jusqu'au bout xD

      Oh je savais que toi au avais lu le livre ,donc je ne m'inquiétais pas pour ça, mais pour les éventuelles lectrices qui elles, vont être spoilées lol

      Et pour répondre à ta question, l'Orc Pale est bien dans le livre, sauf qu'il est mort depuis bien des lustres, tué par Dain si je ne m'abuse xD Ils font juste une allusion ^^ Mais comme c'est un passage du film que j'aime beaucoup, et qui a pu amené les prémices des sentiments de mon protagonistes, j'ai laissé ce passage ^^

      XD Tu la relira un jour, suivie de l'autre :p

      En tout cas, merci beaucoup !!

      Supprimer